Nom : Murphy Prénom :Sulivan Âge : 11 ans Date de naissance : 15 avril 2005 Statut de sang : Sang-Pur Origines sociales : Bourgeoise Baguette : Bois de saule, plutôt rigide 28 cm et une plume de phénix en son cœur Signes particuliers : ???. Matières préférées : Sans doute les sortilèges, l'histoire de la magie et les potions.
Physique
Dans une certaine mesure, le jeune sorcier est mignon. Mais c'est une mignonnerie qui cache quelque chose de mauvais. Les cheveux bruns du garçon sont lisses, marquant une mèche sur le côté qu'il cache parfois en étalant ses cheveux sur tout son front. Il aime garder une certaine longueur, n'appréciant que très peu les coupes proches du crâne. A l'instar de sa sœur jumelle, il n'est pas très grand et pas plus épais. Ne comptant pas sur sa force physique pour se faire respecter, ce n'est pas un problème pour lui. Chaque centimètre qui lui manque, il se dit qu'il les retrouve dans son intelligence. Sulivan à un sourire de tombeur lorsqu’il en fait usage. En fait, il a plusieurs sourires. Celui qu'il ne réserve qu'à sa sœur doux et aimant. Celui qu'il garde pour se faire passer pour un ange aux yeux des adultes, un autre qu'il consacre aux gens en général. Sourire hautain est plein d'antipathie. Il possède aussi un sourire carnassier, qu'il utilise à toutes les sauces. Cependant, il garde un visage impassible et neutre la majorité du temps. Aimant se faire discret, ses vêtements sont généralement sobres mais reste élégant, surtout depuis qu'il découvre la vie mondaine.
Caractère
Sulivan laisse la belle prestance à Noélia. C'est généralement elle qui parle pour eux deux, et ça lui convient. Pas bavard pour deux sous, si vous cherchez la conversation avec lui, il faudra trouver un sujet qui le passionne. Il ne se confie qu'à sa sœur, la seule est unique personne en qui il a une confiance aveugle. Voire confiance tout court. Protecteur impulsif, ne vous avisez pas à venir chercher les poux à sa jumelle. Qu'il ne parle pas n'exclut pas le fait qu'il sait envoyer les autres sur les roses avec une douceur digne d'un piège à loup. Sa nature veut que ce soit quelqu'un d'opiniâtre quand il le décide. Obstiné, il va toujours au bout de ses objectifs, qu'ils sont bons ou mauvais. Pour lui, rien de commencer ne doit rester inachevé. ça laisse un arrière gout d'échec, relativement désagréable pour l'enfant. De la même manière que Noélia, le perfectionnisme guide ses actions, et si une erreur aussi futile se fait une place dans ses devoirs, c'est inacceptable pour son égo. A son plus grand désespoir, son étourderie lui fait oublier beaucoup de chose ce qui a le don de le frustrer profondément. Il ne faut pas grand-chose distraire le garçon de 11 ans. C'est à cause de sa fâcheuse tendance à être maladroit qu'il dénombre de nombreux mal être face à ses déboires.
Il peut se montrer autant passif qu'actif si ce qu'on lui propose ne lui plaît pas, où que quelqu'un essaie de lui arracher les vers du nez. Il a le roulement des yeux très facile pour tout et n'importe quoi, ce qui lui donne l'air de se foutre de ce qu'on lui raconte. Et c'est effectivement le cas. Sachez-le... De manière générale, c'est un garçon qui adore observer les gens. Il apprendra plus tard que c'est quelque chose qu'il tient de la personne qu'il doit appeler "papa". Entre nous, cet homme est loin de recevoir ce titre...
Sans vraiment le savoir, son esprit est encore très influençable, et il est très facile d'y glisser des idées plus où moins mauvaises. Malgré son caractère bien défini, il reste encore un jeune enfant de 11 ans qui découvre un monde nouveau avec des choses toujours plus insolites les une que les autres.
Il compte beaucoup sur sa sœur et à profondément du mal avec l'idée que des gens puisse la lui arracher. Il a très mal vécu d'être séparé d'elle à l'orphelinat. Elle est en quelque sorte sa barrière sociale. Être avec elle rend les interactions non obligatoires.
Aime
Sulivan aime son lien fort avec sa soeur. Leur cocon bien à eux qu'ils ont consolidé depuis leur naissance de manière instinctive. Il apprécie être avec elle plus que tout et se sent rapidement perdu lorsqu'elle est totalement absente. Très contradictoire avec sa forte envie de faire taire le monde autour de lui, il adore les fêtes mondaines. Il y a beaucoup de gens à critiquer tout en offrant un grand sourire angélique aux adultes qui le complimente sur son savoir vivre et sa tenue, alors que dans sa tête il dénombre chaque chose qu'il a pu relever sur eux. La miette de gâteau, le pli disgracieux d'un col, l'odeur nauséabonde d'un parfum sorti de l'enfer olfactif... Sulivan aime lire, apprendre, s'instruire. Mais pas sur tout et n'importe quoi. Il faut que le sujet lui apporte vraiment quelque chose. Les potions, l'histoire de la magie et les sortilèges se rajoute aux choses plus moldu qu'il a pu apprendre comme les langues étrangères et l'histoire ... Des moldus ?
N'aime Pas
Il n'aime pas être séparé de soeur. Pour lui, c'est une épreuve difficile car généralement c'est elle qui prend la parole. Il n'a pas les animaux en grande affection même s'il peut apprécier les chats et les chiens, sans forcément en être gaga. Si les gens le laissent généralement indifférent, il n'aime pas entrer dans des conversations lourdingues qu'il juge inutile. Si quelqu'un entame ce genre de blabla, il part, simplement. Seule sa sœur à cette possibilité.
crackle bones
Dernière édition par Sulivan Murphy le Sam 8 Avr - 13:34, édité 3 fois
Sulivan Murphy
Parchemins : 30Âge : 12 ans (17 avril 2005) Actuellement : 2ème année
Indésirés. C'est cash pour le commencement d'une histoire mais c'est ainsi. Les jumeaux n'ont jamais été désirés. Quelle mère sorcière donne naissance en urgence dans une maternité moldue avant de disparaître dès le minimum de soin donné ? Quelle mère abandonne ses enfants au bout de cinq ans ? Quelle mère paye une vieille femme pour élever ses enfants le plus loin possible d'un monde où ils sont de toute manière destinés à découvrir ? Alors oui, il ne manque de rien. Bien traités, bien nourris, bien éduqués. Quant à l'amour ils le trouvent principalement dans l'autre. Soudés comme personne, ils se sont toujours soutenu, que ce soit dans les bêtises, les moments difficiles mais également dans la bonne humeur. Ne manquer de rien ne veut pas dire qu'ils étaient heureux. En apparence, peut-être. Mais ils avaient l'impression de manquer de quelque chose d'important. De l'attention. De la considération. Pour le petit garçon, l'impression de faire partie du décor à toujours été forte. Voir sa mère venir leur offrir des cadeaux puis répartir comme son ça suffisait. De temps en temps. Exactement comme on vient voir un chien en chenil qu'on aime assez pour lui faire des câlins avec des friandises en bonus mais pas assez pour l'adopter. Suli n'arrivait pas à comprendre ce fonctionnement mais avait appris à accepter les cadeaux avec un sourire plus faux que celui des hommes de cire. Avec le temps, les livres sont devenus ses cadeaux favoris. Il attendait presque avec impatience sa mère, pour découvrir de nouvelles histoires.
Sulivan a toujours été un garçon discret, préférant observer et apprendre des autres avant de s'aventurer dans le social. Les conversations futiles le font fuir de manière volontairement hautaine. Petit et encore aujourd'hui, il laisse toujours sa sœur prendre la parole et ne cherche jamais à lui faire de l'ombre. Bien au contraire, il est très bien derrière elle adorant la voir briller. L'observation des gens, il les classe en plusieurs catégories. "utile", "inutile", "potentiellement intéressant" et "personnes de confiance" . Et actuellement seule Noélia est une personne de confiance. Rares sont les gens utiles. La grand-mère est une de ses personnes utiles. Elle leur fournit ce qu'ils ne peuvent pas faire eux même. Il n'a pas certain que sa sœur accepte cette façon de classer les gens, mais ça réduit considérablement le nombre d'interactions sociales.
Les jumeaux on comprit bien trop tôt le fonctionnement du monde des adultes. C'est un monde Égoïste dont la sympathie est une méchante aumône. Donner la piécette aux pauvres pour qu'ils nous aiment ou nous pardonnent. C'est exactement comme ça qu'il voit les cadeaux de sa mère. Et s'il trouve une utilité à la lecture, il est incapable de pardonner. Son cerveau d'enfant n'a jamais appris le pardon. Mais il a appris à se débrouiller seul avec sa sœur et à se servir de son sourire. Il a appris que la confiance est précieuse. Que la donnée à la mauvaise personne n'était pas une bonne idée. Et il ne savait pas encore à quel point il avait raison.
Des choses inexpliquées on commence à se produire mais les enfants n'en ont jamais parlé à grand-mère. Ni à personne d'ailleurs C'était leur secret. Jamais les adultes devraient apprendre ça. Comment avouer les choses qu'ils semblaient provoquer sans passer pour des fous ? Qui les croirait. Non. Vraiment. C'était mieux qu'ils soient les seuls au courant. Et puis cette histoire de Murphy destinée à de grandes choses était monté à la tête du garçon. il ne comprenait pas ce que cela voulait dire, mais ça ça sonnait important à ses oreilles. Mais d'un autre côté, comment pouvaient-ils faire quelque chose de grand en restant loin de tout ? C'était dénué de logique. Ça n'avait aucun sens.
L'espoir. Vous connaissez ? Ce sentiment proche la sensation qui va se passer quelque chose de bien, de beau… lors de leur 10ème anniversaire, leur mère était là. Cette année, il avait réussi à sculpter un lapin dans du bois. C'était pour sa sœur. Jamais grand-chose, mais c'était plus sincère pour eux de s'offrir un objet fabriqué par eux que d'acheter une babiole sans intérêt. Babioles comme ils avaient reçu tous les deux cette année. Noélia avait reçu un journal familial et lui… une chevalière. Ça aurait soi-disant appartenu à son père. Murphy. Qu'est-ce que ça signifie ? Jetant un regard au livre de sa sœur puis à son bijou, il s'est rapidement demandé si elle avait compris ses enfants. Et puis sa concentration revient à la bague. Elle est bien trop grande pour lui, mais le garçon la trouve très belle. Un jour on est de ta famille, le lendemain on ne l'est plus et puis soudain on le redevient ? Ça ne voulait rien dire. Un contact visuel avec sa sœur lui confirme une chose. Elle aussi a de l'espoir.
Bague roulant entre les doigts, il leva à peine la tête quand la grand-mère vient leur parler. Mais la mention de leur mère lui fait lever un sourcil. C'était pas un peu trop gros ? Pourtant la flamme de l'espoir venait d'être alimentée. Et le sourire de sa sœur ne faisait que confirmer ce qu'il avait en tête. Ils allaient enfin former une famille ! Quand leur mère vient les chercher, les enfants se tenaient la main très fort. Sulivan remercie poliment la grand-mère mais reste silencieux. Il n'a jamais vraiment aimé cette personne. Si elle n'est plus utile, il est parfaitement logique qu'ils s'en aillent. Surtout pour vivre une vie de famille.
La joie de sa sœur étant communicative, sur le chemin il n'a pas réussi à cacher la sienne. Un léger sourire aux lèvres, c'était assez étonnant d'y voir une sincère gaieté. Malheureusement ce fut de courte duré. L'ascenseur émotionnel fut violent. Par instinct, Sulivan s'est collé à sa jumelle. Ils avaient tous les deux vu la plaque avec écrit "orphelinat". Il était perdu. Pourquoi...? Pourquoi avait-elle fait ça ? La rancœur qui envenima son cœur alors qu'il regardait le dos de sa mère, restera longtemps. Il en était certain. Mais le pire ne semblait pas être passé. Il serre sa sœur quand on leur explique qu'ils ne peuvent pas rester ensemble. C'était hors de question. Personne ne lui enlèvera sa sœur. La grand-mère semble soudainement indispensable pour le garçon qu'il s'en mord les doigts d''avoir cru qu'elle était devenue inutile.
Se retrouver dans un endroit avec autant d'enfants était quelque peu déroutant, surtout qu'il ne peut plus rester avec sa sœur le soir. Déjà de nature silencieuse, Sulivan n'est pas devenu bavard, bien au contraire. Il hoche la tête pour répondre, lance des regards dédaigneux pour faire taire, et s'enferme dans un livre lorsqu'il ne peux pas être avec Noélia. C'est pour le garçon une épreuve difficile. Mais il reste fort, transforme sa colère en haine, sa tristesse en ressentiment. Les adultes n'étaient pas dignes de confiance, tous ces gosses semblaient aussi intelligents qu'un troupeau de chèvres ahuries. Seuls avec sa soeur, il pouvait lâcher sa tristesse et s'en libérer sans gènes.
Un mois plus tard, on leur fait mention d'un père inexistant jusqu'à maintenant. Ils les prenaient pour qui ? L'image d'un chien lui revient en mémoire et Suli grince des dents. "On a pas de père." Sort-il aussi froidement que sa voix juvénile en est capable. C'était une rare fois où lui même s'exprimait pour eux deux. Noélia lui serre la main, alors Sulivan la garde contre lui, le temps d'essayer d'imaginer la nouvelle. Une mère refusant son rôle. Un inconnu soi-disant leur père. Quelle sorcellerie est en court pour tourmenter encore les deux jeunes enfants ? L'homme aura sans doute beaucoup de mal à être accepté comme "père".
Lors de la première rencontre, Sulivan n'avait pas dit de mot. Il avait cependant fixé l'homme avec assez d'intensité pour essayer de le mettre mal à l'aise. Enfin, c'est ce qu'il espérait tout du moins. Finalement, les enfants ont suivi cet homme. Distant, froid et muet, Sulivan ne parlait qu'a sa sœur, comme toujours. Il ne voulait pas croire à une situation stable. Tôt ou tard, ils devraient partir d'ici. Être de nouveau baladé de maisons en maisons, abandonné par des gens se croyant aimant et attention....
La lettre de Poudlard laissa Sulivan totalement indiffèrent. Un pensionnat... ça rime très fort avec Orphelinat... En fait, c'était devenu une habitude... Mais Noélia lui montra une autre facette de ce changement. Ils allaient enfin pouvoir apprendre, et choisir leur destin. Ils seraient à l'école, là où il avait toujours eu envie d'aller. Le fait de dormir là-bas ne signifie pas que Sean les abandonnait... Le jeune sorcier en restait quand même sceptique. Il accepta cependant cette aventure. Curiosité, ambition et besoin de liberté le motivèrent à prendre cette décision. Et aussi rester avec Noélia...
La partie moldue
Prénom ou Pseudo : Léo Comment avez-vous découvert le forum ? Sarah, elle m'a parler de Sulivan et j'ai voulu essayer. Du coup me voilà. On a commencer une coloc ! Célébrité pour l'avatar : Dylan Kingwell Un petit mot ? Je suis nouveau dans le monde du RPG, pour le moment je suis beaucoup aider par Sarah
crackle bones
Dernière édition par Sulivan Murphy le Sam 8 Avr - 13:34, édité 2 fois
Victoire Weasley
Parchemins : 1803Âge : 17 ans ★ 2 mai 2000 Actuellement : 7ème année
Informations supplémentaires SIGNE PARTICULIER: RELATIONS: SORTS & ARCANES: GALLIONS EVENT: 11 FACECLAIM: Dove Cameon/Kathryn Newton
Coucou Léo et bienvenue parmi nous avec ce chouette PV j’espère que tu te plairas sur le forum et que le rp aussi te conviendra ! Bon courage pour la fin de ta fiche
la victoireappartient aux plus opiniâtres
EXORDIUM.
Esther Foster
Parchemins : 497Âge : 20 ans, 3 septembre 1997 Actuellement : "Apprentie" Styliste a MPYSewing
Ce n'est pas le sang qui fait une famille. Ce sont les rituels. Ces rendez-vous que l'on se donne et durant lesquels chacun est sûr du rôle qu'il a à jouer.
Sean Murphy
Parchemins : 142Âge : 36 ans 05/11/1979 Actuellement : Directeur Adjoint de MPYSewing /Styliste
Bienvenue ^^ Bon courage pour la suite de ta fiche, j'espère que le forum te plaira Si tu as une question n'hésite pas à nous demander à Peony/Hermione ou à moi !
Sulivan Murphy
Parchemins : 30Âge : 12 ans (17 avril 2005) Actuellement : 2ème année
Merci Viska, je viendrai vers vous si j'ai des questions.
Sulivan Murphy
Ce n'est pas le sang qui fait une famille. Ce sont les rituels. Ces rendez-vous que l'on se donne et durant lesquels chacun est sûr du rôle qu'il a à jouer.