Premier cours : les sortilèges impardonnables

Ginny arriva juste à l'heure pour son cours de Défense contre les Forces du Mal. A vrai dire, elle aimait beaucoup cette matière qui, d'après elle, était intéresante ... surtout pour la pratique.
Elle arriva ainsi devant la porte en chêne et l'ouvrit. Elle repèra quelques têtes qu'elle connaisait, dont celle de son frère, mais toutes les têts ne lui étaient pas familières. A vrai dire, il y en avait pas mal qu'elle ne connaissait pas. Elle haussa alors les épaules, après tout, elle ne pouvait pas connaitre tout le monde à Poudlard.

Elle entra dans la classe avec un petit sourire qu'elle perdit assez vite, passant à une légère grimace.

*Mais c'est quoi cette odeur.... de l'ail!!* pensa-t-elle en grimaçant et essayant de retenir sa respiration.

Cependant, elle n'allait pas rester comme celà indéfiniment. Elle décida alors de respirer par la bouche, lui permettant de moins sentir l'odeur, même si celle-ci restait présente. Elle alla s'asseoir à la même table que son frère en lui disant:

- "Salut Ron! ca va?"

Elle commença ensuite apr sortir ses affaies et les déposer sur sa table.
Au bout de plusieurs minutes, voyant que le cours ne commencait aps, elle prit son courage à eux mains et leva la main pour poser une question au professeur.

- "Excusez-moi Professeur Quirell mais pourriez-vous nous expliquer pourquoi il y a des gousses d'ail accrochées au plafond?.... s'il vous plait?" lui demanda-t-elle en le regardant, espèrant ne pas avoir été trop impolie.

Le professeur Quirrell regarda avec surprise la jeune fille rousse, sans doute une Weasley qui lui adressait la parole. Il venait de voir arriver avec une ecrtaine angoisse tout les élèves... *Ils étaient si nombreux avant ?*

- Et b'bien... Co'com'ment vous di'dire...

Il se leva et marcha de long en large sur l'estrade.

- C'est qu'que vous vo'voyez l'ail est u'une ma'maniere trés'trés efficace d'é'éloigner les vam'vampires.

Il n'attendit pas de réponse et dit à toute la classe.

- Ou'ouvrez vos'vos livres ! Page 14 !

Christopher fit de meme que tout les élèves il ouvri le livre page 14 ms il ne pu s'empecher d'ajouter tout bas:

"pa-page combien p-professeur"

(HJ:Slim c'est la page 14)
*pauvre professeur il faudrait peut etre pas l'embeter*

Myrielle vit un garçon de Serdaigle lui sourire, elle n'y répondit pas. Elle se contenta de le jauger froidement, reservant son sourire à Isaac uniquement. Tout le reste du monde (à l'exeption toutefois de Nathan) lui était indifferent.

Elle ouvrit son livre et le regarda d'un oeil morne.

*Genre il y a des vampires à Poudlard...*

Puis elle entendit la reflexion d'un poufsouffle. Elle n'aimait pas qu'on se moque d'un professeur (aussi nul soit il) c'était faire perdre des points et c'était ridicule... enfin c'était un poufsouffle alors après tout pourquoi pas...

Cependant elle ne put s'empécher de dire d'un ton sarcastique :

- Très spirituel Thomas.

Luna obéit dans un soupir. Elle n'aimait guère l'odeur d'ail qui émanait de tous les recoins de la pièce. Déjà, elle n'aimait pas les recoins, cela signifiait que la pièce était fermée, et Luna détestait les huis clos. Autant dire que cette heure de cours s'annonçait... mal. La blonde crispa ses poings sur son parchemin.

*Quel horrible endroit*

De plus, l'attitude du professeur était très étrange. Il portait un turban, symbole d'autorité et de noblesse pour les Indiens, et parlait comme un enfant, bégayait. Luna aimait bien les gens qui bégayaient, parce qu'ils ne parlaient pas trop. Ils disaient ce qu'ils avaient à dire, et cela prenait déjà son pesant de salive.

Son pesant de salive... Berk. Luna fit une grimace à cette pensée.

Diabalzane entra en courant dans la salle de classe et s'arreta net en sentant l'odeur putride des aux.

- Nan mais je rêve... Heu désolée monsieur d'être en retard.

Elle s'assit directement au fond de la salle et ouvrit son livre à la page 14 sans vraiment s'interesser au cours. Elle posa sa baguette sur le bord de la table et hocha la tête en direction de Myrielle pour lui dire bonjour. Elle toussota à la plaisanterie de Christopher, un poufsouffle.

- Semblables à eux mêmes ces Pouffy... murmura-t-elle.