1ère année : Quest-ce qu'un animal fantantastique ?

La journée ne commençait pas très bien pour Michael. Il s'était installé au fond de la classe pour ne pas déranger les autres par sa présence mais un petite groupe de Serpentard mené par un garçon aux cheveux blonds presque blancs. Ce garçon n'avait pas l'air des plus amical et bouscula Michael sans lui accorder un La journée ne commençait pas très bien pour Michael. Il s'était installé au fond de la classe pour ne pas déranger les autres par sa présence mais un petite groupe de Serpentard mené par un garçon aux cheveux blonds presque blancs. Ce garçon n'avait pas l'air des plus amical et bouscula Michael sans lui accorder un regard.

N'étant pas très costaud, il n'en fallu pas moins pour faire tomber Michael sur les fesses. Une fois par terre, il attendit que les Serpentard aient fini de passer pour se relever. Il s'était fait un peu mal, il était si fin qu'il n'avait que sa fine peau pour le protéger des chocs. Néanmoins il ne laissa rien paraître et se releva, les fesses pleines de terre et les mains sales également.

S'armant de son éternel sourire, il fit bonne figure et écouta le professeur parler, ne faisant pas plus attention que ça à la bousculade, cela lui arrivait trop fréquemment.

Il se fit à nouveau percuter par une Serdaigle, mais sans violence cette fois-ci. C'était la préfète de sa maison. Elle bredouilla quelques excuses mais tout allait bien pour Michael, mis à part son pied qu'elle avait écrasé, il n'y avait pas de mal.

"Ca va" lui dit-il pour la rassurer.

Pendant un instant il lui sembla qu'elle avait regardé un élève et que c'était ça qui l'avait poussé à s'en éloigner. Ca n'était pas ses affaires alors il ne dit rien de plus sur le sujet. Le cours était en train de commencer et Michael se mit à écouter attentivement le professeur. Espérons que le cours allait être intéressant !

Je vis encore l’élève de Poufsouffle lever la main, du haut de mon deux mètres dix j’avais une vue d’ensemble sur tout le cours, pour voir si d’autres élèves voulaient répondre, mais personne ne levait la main. Résignai, je soupira en regardant le jeune garçon de Poufsouffe. Lui seul semblait avoir les réponses.

Oui, jeune homme, lui dis-je en le regardant.

il sentait un vague lassement dans la voie du professeur et il sentit qu'il n'allait pas pouvoir dire beaucoup de reponse après celle ci mais il esperait quand meme que personne d'autre ne leverait la main parce que sinon il ne serait plus choisit après cette deduction extraordinaire il refle chit a la question il chercha le conseil des sorcier*mangemagot.non pense pas une organisation ou il y a des sorcier.............le ministere de la magie bien sur!!.*

"je pense que le conseil des sorcier est l'actuel ministère de la magie"dit il d'une voie hesitante

"et........"dit il*la date.... la date XV..... non..... XIII... non plus..... bon aller le milieu*

"il me semble qu'on est cesser de l'appeler le conseil des sorcier vers le XIV eme siècle"dit il d'une voie plus assuré

il finit par baissé la main et regarda le prof attentivement sa reponse avait été plus claire que les deux premières il avait fait des effort car quand il connait une reponse il ne sait pas comment la formuler pour que l'autre comprennent ce qui'il avait voulu dire puis il jeta un coup d'oeil aux autre eleve qui était derrière lui et il vit un élève tomber par la faute de malefoy

*a quoi sa ta servit de le faire tmber malefoy*pensa il le garçon se releva et se fit percuté de nouveaux par une personne mais cette fois c'était une serdaigle qui n'avais sans doute pas fait exprès car les serdaigles était tous très gentil ne pouvant se retenir il murmura au jeune serdaigle

"rien de casser?"

puis il reporta son attention sur le professeur et se demanda si sa reponse allait etre recompenser ou pas car poufsoufle était en très mauvaise posture il faudrait un miracle pour que poufsoufle finissent premier néanmoins christopher participait de plus en plus en cour pour essayer de comblé ce retard mais a serdaigle il y avait clara et aelita surment les deux première année les plus cultivé en toute matière il se laissa submerger par ses pensées jusqu'a se que le professeur repondit...........

Bien Monsieur Thomas, je vous accorte 5 points pour votre excellente réponse, dis-je en le regardant.

(Le Conseil des Sorciers était l’ancêtre du ministère de la Magie) au quatorzième siècle, décréta que tout membre de la communauté magique marchant sur deux jambes devaient bénéficier du statut d’«être », les autres entrant dans la catégorie des « animaux ». Dans un esprit d’amitié, il invita tous les « être » à rencontrer des sorciers à l’occasion d’un sommet destiné à débattre de nouvelles lois magiques. Mais, à sa grande consternation, il s’aperçut qu’il avait mal évalué la situation.

A votre avis que c’est-il passé ?

Ah Mademoiselle Toppinen, je vous écoute, dis-je enfin soulagé d’entendre une autre élève que Monsieur Thomas.

Ce n’est pas que je n’aimais pas les Poufsouffle, bien au contraire, non ce que j’aimais par-dessus tout c’est la diversité des personnes qui se trouvait à mon cours. De leur potentiel et de leur capacité à réfléchir et à essayer de se dépasser mentalement.

Clara était totalement perdue.. en plus le professeur l'avait vu lever la main.. il avait tellement l'air soulagé de voir un autre élève lever la main.. non loin de là l'idée qu'il n'aimait pas les Poufsouffle, mais c'était beaucoup plus agréable d'entendre chaque élève parler au moins une fois.. la diversité faisait parfois beaucoup de chose...

Mais revenant à ce qu'elle devait dire.. elle était encore plus perdue.. maintenant tout le monde la regardait avec étonnement à l'idée qu'elle puisse reformuler tout un roman comme elle l'avait fait précédemment.. pourtant là, elle n'avait strictement rien à dire...

Elle sera doucement la main de Blaise, pouvait-il l'aider? Non!! Elle était seule... vraiment seule... qu'allait-elle donc faire maintenant.. ne pas répondre.. lui dire pardon car elle s'était trompée.. elle ne pouvait pas.. impossible.. quelle décéption ferait-elle?

Elle qui soit disant été un vrai dictionnaire, sécher sur une question qu'elle connaissait pourtant au fond d'elle.

*Par pitier...*

Elle allait être achevée maintenant... elle regardait ses pieds avec les larmes qui coulaient sur ses joues, la main toujours serrait avec douceur la main de Blaise... elle regardait le par terre comme si lui pourrait l'aider... elle réfléchissait à la vitesse de l'éclair mais tout était embrouillé... elle était fichue...

Elle prit alors la parole pour tenter une réponse.. elle débita alors un nombre de chose ne sachant même pas d'où cela pouvait sortir... un vrai robot...

"Comme vous l'avez dit le Conseil des Sorciers était le prédécesseur du ministère de la Magie. Barberus Bragge était le chef de ce Conseil en 1269 et Burdock Muldoon en fut le dirigeant durant le XIV ème siècle. Le Conseil des Sorciers dépensa beaucoup de temps et d'efforts pour décider qui serait autorisé à participer au gouvernement du Monde Magique. Plusieurs définitions des catégories d'Êtres et de Bêtes furent proposées. Burdock Muldoon déclara que tout ce qui marchait sur deux jambes était considéré comme un Être et convoqua tous ces Êtres à un grand conseil pour discuter des lois appliquer."

Elle avait répété exactement la même chose que le professeur leur avait dit... c'était pour en faire un résumé.. mais pourquoi avait-elle fait ça?! Elle n'en savait strictement rien...
Elle continua cependant en regardant toujours le par terre...

"Les gobelins profitèrent des lacunes de la définition pour amener au congrès toute créature marchant sur deux jambes, aussi étrange soit-elle, des Diricos au lutins en passant par les trolls. Ce désastre conduisit Muldoon à abandonner l'intrégration des non-sorciers à la communauté. Elfrida Clagg, son successeur, fit une nouvelle tentative, définissant cette fois les Êtres comme n'importe quelle créature pouvant parler dans un language humain. De nouveau, cependant, cette définition causa d'énormes problèmes, puisque des créatures comme les Chartiers (Ressemblant à un furet de grande taille, le Chartier est un des rares animaux possédant la parole. Son discours n'est cependant constitué que de gros mots et d'insultes. Les Chartiers chassent les gnomes.) participèrent et mirent un énorme désordre."

Elle avait dit cela dans un débit de mots que très peu aurait pu faire.. cela dit elle ne savait même pas si ce qu'elle avait dit était juste ou non.. elle ne s'en fichait pas.. elle aurait voulu se reprendre.. elle sera un peu plus la main de Blaise pour qu'il la fasse revenir à la réalité... qu'il la rassure.. lui dise que tout allait bien... qu'elle ne s'était pas trompée dans sa réponse...

Vous n’êtes pas loin de la vérité j’accorde donc tout de même 5 points pour Serdaigle, lui dis-je en lui souriant.

La salle de réunion se trouva en effet envahi par des gobelins qui avaient amené avec eux autant de créatures à deux jambes qu’ils avaient pu trouver. Bathilda Tourdesac nous raconte la suite dans son Histoire de la magie :

Il était difficile d’entendre quoi que ce soit dans le vacarme provoqué par les hurlements rauques des Diricawls, les gémissements des Augreys et les chants criards et incessants des Fowoopers (ou Focifères). Pendant que les sorciers et les sorcières s’efforçaient de consulter les papiers disposés devant eux, divers lutins et fées tourbillonnaient autour d’eux en gloussant et jacassant. Une douzaine de trolls commencèrent à dévaster la salle à l’aide de leurs massues tandis que des harpies rôdaient un peu partout à la recherche d’enfants à dévorer. Au moment où le chef du conseil se levait pour ouvrir la séance, il glissa sur une crotte de Porlack et se précipita hors de la salle en poussant des jurons.

Comme nous le voyons, la possession de deux jambes ne pouvait nullement garantir qu’une créature magique s’intéresserait aux affaires qui préoccupaient les instances dirigeantes de la sorcellerie.
Découragé et amer, Burdock Muldoon renonça à toute autre tentative d’intégrer au Conseil des membres extérieurs à la communauté des sorciers.
Le successeur de Muldoon, Elfrida Clagg, s’efforça de redéfinir le terme d’ « être » dans l’espoir d’établir des liens plus étroits avec d’autres créatures magiques. Les « êtres », déclara-t-elle, étaient ceux qui parlaient une langue humaine. Quiconque pouvait se faire comprendre des membres du Conseil était de ce fait invité à se joindre à la prochaine réunion. Mais cette fois encore, des difficultés ne tardèrent pas à apparaître. Les trolls, à qui les gobelins avaient enseigné quelques phrases simples, commencèrent à détruire la salle. Des Jarvey se faufilaient entre les pieds de chaises en mordant toutes les chevilles qui se trouvaient à leur portée. Une importante délégation de fantômes (qui avaient été interdits d’entrée de temps de Muldoon pour la raison qu’ils ne marchaient pas sur deux jambes mais glissaient dans les airs) assista à la réunion, mais s’en alla bientôt, outrée par ce qu’elle appela plus tard « l’impudente prétention à vouloir satisfaire les besoins des vivants sans accorder la moindre importance aux aspirations des morts ». Les Centaures qui avaient été classé comme « animaux » par Muldoon et que Madame Clagg définissait désormais comme des « êtres », refusèrent d’assister au Conseil pour protester contre l’exclusion des sirènes et des tritons qui étaient incapables de converser autrement qu’en langue aquatique lorsqu’ils se trouvaient à l’air libre. Il fallu attendre…

Hum, toussai-je en arrêtant brusquement mon récit, alors votre avis, il fallut attendre quelle date ?, leur demandais-je en les regardant.

Je regardais ma tendre et chère Clara entrain de répondre aux questions du professeur et plus rien n’avait d’importance. Seul les lèvres de Clara remuant à toutes allures, m’importaient, j’étais transporté dans un autre monde.

Clara, je suis fou de toi, lui murmurais-je alors que le professeur était en entrain de parler, je te retrouverais où tu veux après les cours du moment qu’on est à deux, lui dis-je en profitant que le professeur regardait ailleurs, je passa derrière Clara et la prit par la taille.

Je me mordilla la lèvre inférieur, tout en me concentrant sur les paroles du professeur, aucun élève de Serpentard n’avait encore levé la main.

*Etrange*, me dis-je en regardant Drago qui me lancé toujours un regard des plus mauvais, je décida donc de le nager, en lui lançant un de mes plus beau sourire et en serrant un peu plus contre moi Clara.

Schritch, schritch, schritch, chantonnait joyeusement la plume de Susan.
Moins vite, moins vite, moins vite, suppliait sa main droite, déjà fatiguée.
Pourquoi je connaîs rien sur la question ?, interrogeait un cerveau un tantinet paniqué devant l'abondance de connaissances qui étaient apportées, cerveau qui réalisait du même coup, à son grand désarroi, l'ampleur de la catastrophe, à savoir qu'en matière de soins aux créatures magiques, c'était le néant le plus total, le trou noir, le vide, bref, il n'y avait rien.

La fillette profita d'une pause miraculeuse pour se masser discrétement le poignet avant de lorgner d'un air anxieux - pour changer ! - ses camarades.
Damned it, bloody cucumber ! De toute évidence, elle était la seule petite sotte ici à ne pas être assez fine pour percevoir toute la subtilité de ce qui était dit voire même pour tenter une réponse. Enfer et damnation, qu'allait-il advenir d'elle ?

La partie "scénario catastrophe" de son encéphale, plutôt bien développée, se mit auusitôt en branle pour lui chuchoter que, dans le meilleurs des cas, elle allait finir grillée avec des courgettes dans les cuisines de l'école et que, dans le pire des cas, elle serait renvoyée après avoir été publiquement humiliée devant toute l'école. Ses parents la renieraient, elle errerait dans les rues les plus glauques de la capitale avant d'être terrasée, à 17 ans, de la peste noire, laissant derrière elle trois enfants en bas âge et un poisson rouge malingre.